Attente jusqu’à 14 h d’un bus direct pour Malatya. Plutôt que de prendre un dolmush, qui partira quand il voudra, fera plein d’arrêts inutiles sur une route de montagne surchauffée, et arrivera finalement aussi tard que le « big bus », nous préférons attendre dans un çay bahçeli de l’otogar, à l’ombre. J’ai de quoi écrire, mes bouquins, que demande le peuple ?
Search
Archives
- mai 2015
- avril 2015
- décembre 2014
- novembre 2014
- octobre 2014
- août 2014
- avril 2013
- septembre 2012
- août 2012
- juin 2011
- avril 2009
- décembre 2008
- novembre 2008
- octobre 2008
- mai 2007
- septembre 2005
- août 2005
- juillet 2005
- octobre 2004
- septembre 2004
- août 2004
- juillet 2004
- janvier 2004
- décembre 2003
- novembre 2003
- juillet 2003
- juin 2003
- mai 2003
- avril 2003
- mars 2003
- février 2003
- septembre 2002
- août 2002
- juillet 2002
- juin 2002
- mars 2002