Les habitants de la vieille ville sont réellement serviables. A chaque fois ou presque qu’on croise quelqu’un, la personne vient nous demander ou on va, nous indique le chemin et nous fait escorter par des gosses pour que nous arrivions a bon port. Toute la journée c’est le relais !
Meryem Ana daterait de l’an 150 et une jeune femme, gardienne de la clé énorme nous ouvre pour visiter. Elle nous apprend qu’il reste 5 familles de Syriaques catholiques a Mardin et qu’ils ne rencontrent pas de probleme dans l’exercice de leur culte.
Quelques jolies décorations extérieures (a l’intérieur un poele de chauffage et son immense tuyau gâchent un peu la vue) m’obligent a me brûler les mains pour les photographier : c’est fou ce qu’une simple brouette en feraille peut être pénible a déplacer apres quelques heures en plein soleil !