Samedi, j’ai appelé Neuneu qui revient d’Irak et de Paris ou « ils » ont travaillé pour les élections municipales qui doivent se dérouler dans 3 mois en Turquie…
J’ai du arrêter ses avalanches de « T’es ou, t’es ou, t’es ou ? » et de « Tu fais quoi ? » pour lui rappeler que comme d’hab je ne téléphonais pas pour donner de mes nouvelles au parti, mais si possible pour obtenir une explication vraisemblable…
Apres un « C’est peut-être lui qui ne voulait plus de son portable » (peu convaincu) passablement inquiétant quand ils ne sont même plus capables d’affirmer leurs inepties, idée : « Tu dois appeler le DEHAP, eux sauront ce qu’il faut te répondre » !!!
Le genre « C’est pas moi, c’est eux » ayant une « légere » tendance a m’énerver dans ce cas précis, je lui ai rappelé que la derniere fois c’est lui qui avait récupéré le portable en question qu’il prétendait ne pas avoir (alors qu’il était en train de nous répondre avec), et qu’accessoirement téléphoner au DEHAP, c’est tres exactement ce que j’étais en train de faire !!!
Neuneu perd vite les pédales quand on évoque certaines choses comme la responsabilité de ceux qui couvrent (au minimum) le sort réservé aux « librement prisonniers », mais a priori le message devrait être transmis… en même temps que mon numéro de portable turc.
Avec tout ça je n’ai pas ouvert mes bouquins du week-end, pas plus que profité du soleil qui risque de ne pas durer pour prendre des photos. Evidemment, c’est maintenant que Hakan nous fait rattraper la grammaire que nous n’avons pas vue en 3 semaines et que l’effectif du cours a diminué de moitié, ce qui m’oblige a participer 2 fois plus ! Réussir l’exam en fin de semaine me paraît aussi aléatoire que de faire comprendre une idée simple au parti… va falloir bosser !
